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Ce monde... NOTRE monde...
Le monde dans lequel nous vivons, c'est nous qui l'avons créé.
Nous avons eu la pensée créatrice d'un monde que nous estimions plus juste, alors que nous l'emplissions d'injustice.
Nous avons choisi volontairement d'imposer notre façon de penser aux autres, en croyant qu'elle était meilleure.
Nous avons chassé, pillé, détruit des tribus que nous avons qualifiées de "primitives" aux quatre coins du monde.
Nous avons supposé que nous savions faire mieux que ceux qui vivaient là depuis des générations et des générations.
Nous avons créé des religions pour nous rassembler, et nous leur avons donné le pouvoir de nous diviser.
Nous avons créé la justice, et nous l'alimentons par de l'injustice.
Aujourd'hui, une partie de nous a compris que cela ne pouvait plus fonctionner ainsi.
Nous avons le pouvoir de changer les choses.
Nous avons le pouvoir de créer un autre monde plus juste, plus uni, plus en accord avec les vraies valeurs de l'être humain.
Il est important d'y croire pour commencer.
Il est important d'y penser aussi, tous les jours.
Il est important de le dire, pour le propager.
Il est nécessaire de le faire, enfin, dans chacun de nos actes.
N'attendons pas que les autres commencent.. N'attendons pas que ça vienne d'en haut... C'est à nous de le faire. A nous d'entrer dans l'ère de la révolution intérieure, dans l'ère de l'Amour et de l'Unité.
Cela prendra du temps... mais nous avons créé ce monde, nous pouvons en créer un autre.
Pour nos enfants.
Pour nos petits-enfants.
Pour leurs enfants à eux.
PS : je remercie le créateur de cette magnifique photo.... je ne sais pas qui c'est.. mais.. merci.
On les voit circuler un peu partout... et je pense que vous les connaissez bien maintenant.. Pourtant, je ressens aujourd'hui le besoin de vous en parler un peu plus...
La première fois que j'en ai entendu parler, c'est au cours de l'été 2012... Et... cela a vraiment résonné en moi. Résonné et raisonné.
Pour une fois, mon ressenti était en accord avec la théorie !
(Oui, parce qu'il faut bien se l'avouer, parfois, on a de belles idées, des valeurs, des pensées positives et humanistes.. mais au fond de nous, on a du mal à les appliquer, parce qu'il y a toujours une exception, un "ver dans le fruit", une bonne excuse... )
Bref ! Première découverte de ces accords l'été 2012... année particulièrement intense en ouverture énergétique ! Et depuis.... je les ai mûris, expérimentés, mis à l'épreuve, et décidément, ils restent valables, systématiquement !
Je ferai plusieurs articles, afin que ce ne soit pas trop long à lire...
Voici donc, le premier accord Toltèque :
1. Que ta parole soit impeccable...
Notre verbe, notre parole est d'une grande puissance. Nous avons tous pu tester la violence d'un mot méchant reçu par une personne qui nous est chère ou qui nous est proche...
Nous savons tous comment on peut détruire une personne en lui assénant des mots déstructurants à longueur de journée ! C'est ainsi que nait le harcèlement moral, la maltraitance psychologique, mais aussi plus simplement, le sentiment d'être nul, incapable, inintéressant, pas beau, pas belle, gros, bète, etc, etc...
Nous savons tous, intellectuellement parlant, que si on répète à longueur de journée à son enfant qu'il est un incapable et un idiot, il finira par se comporter en incapable et en idiot !
Mais l'avons-nous réellement ressenti un jour ? Avons-nous senti, au plus profond de nous, comment des paroles blessantes pouvaient nous détruire à petit feu ?
Et ces paroles, quelles sont-elles ? La valeur d'un mot est-elle la même, selon que le mot est "à la mode" ou non ? Sous prétexte que désormais, on entend toutes sortes de mots grossiers ou vulgaires à la télévision, que les "insultes" sont monnaie courante dans les séries et autres émissions, tous ces mots ont-ils pour autant moins d'impact sur nous ?
NON !!! Mille fois non !
J'avais déjà écrit un article à ce sujet il y a quelques semaines, mais c'est décidément toujours d'actualité et terriblement vrai ! Même si les mots ne vous sont pas destinés, de baigner dans un univers violent verbalement va systématiquement baisser votre vibration énergétique. Et vous vous sentirez moins bien, stressé, tendu, nerveux !
Alors il est temps d'appliquer ce premier accord Toltèque : Que votre parole soit impeccable !
Appliquons-le envers les autres, individus ou collectivités. Et surtout, surtout : appliquons-le à nous-même...
Et corrigeons-nous si nous nous sommes jugés, ou si nous avons jugé autrui. Personne n'est bête, et surtout pas nous-même ! Ce n'est pas parce qu'on fait une bêtise qu'on est bête ! Ce n'est pas parce qu'on est fatigué un jour, qu'on est fainéant ! Pas de généralité, juste de l'écoute et du respect pour soi-même.. et pour les autres... Pour tous les autres..
Parce que ce qui est bon pour vous est bon pour chacun de nous. Et si tout le monde va mieux.. et bien, tout le monde va mieux, et ainsi de suite ! Nous pouvons créer ainsi un cercle vertueux qui nous élève nous-même, et qui élève les autres.
Certains vont me demander comment faire ? Comment dire les choses sans blesser, sans dire du mal ?
Ma réponse sera toute simple : parlez de vous.
Exprimez votre ressenti, votre sentiment de blessure, de peur, de crainte, de colère... sans accuser l'autre de son acte, mais juste pour lui dire afin qu'il sache. Après, il fera ses choix, et vous les vôtres. Mais il n'y aura pas d'accusation par le "tu" (ou par le "vous") Pas de généralisation non plus.. chaque situation est différente.
Enfin, puisqu'on en est à parler en positif de soi-même, interrogez-vous : qu'est-ce qui fait que je me sens blessé lorsque cette situation arrive ? En quoi ça me perturbe ? Qu'est-ce que ça réveille en moi qui soit douloureux ? Ainsi, vous saurez vous mettre à l'écoute de vous-même, et vous pourrez prendre soin de vous, en changeant positivement la situation.
Lorsque l'on arrive à mieux se connaitre, connaitre ses propres réactions, il est plus facile de parler de soi, sans accuser l'autre. Et il est plus facile aussi de s'aimer, afin de ne plus se juger sévèrement.
Prenez bien soin de vous
Et n'oubliez pas : Vous avez toujours le choix de vos paroles. Le choix de tourner les phrases d'une façon positive ou négative. Pour les autres, et avant tout pour vous-même !
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Voici à présent le 2ème Accord Toltèque :
2. Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle...
Celui-là est souvent difficile à suivre... parce qu'on se sent toujours tellement atteint par l'attitude des autres.. on se sent toujours tellement concerné !
Et pourtant...
Cet accord me fait penser à l'histoire du Sage qui prêche dans les villages... Il prêche, et tout le monde l'écoute. Dans le village, il y a un homme, qui sent monter sa colère, "pour qui se prend-il cet homme ? A dire les choses comme ça, il sait tout, il a tout vu ?" Et finalement, l'homme se lève, et se met à parler vertement au sage, l'insultant, lui crachant sa colère à la figure !
Le sage ne réagit pas. Il attend.
L'homme s'éloigne alors.. toujours en colère... et plus il marche, plus il se sent mal... il réalise alors à quel point ses propos étaient démesurés, cet homme sage qui ne lui avait rien fait, il l'a insulté et traité comme un chien... Décidé, il fait demi-tour, tombe à genoux devant le sage en s'excusant de l'avoir ainsi insulté.. mais le sage le relève en lui disant qu'il n'a pas à s'excuser, car il ne l'a pas insulté.
L'homme ne comprend pas.. alors le sage lui dit ceci : "si quelqu'un te propose un objet inutile comme une grosse pierre, vas-tu le prendre ? _ Non ! Je n'ai pas besoin d'une pierre ! _ Et bien moi, je n'ai pas eu besoin de tes insultes et de ta colère, c'est pourquoi je ne les ai pas prises. Tu les a dites à mon intention, mais je ne les ai pas acceptées. C'étaient les tiennes, et elles sont restées à toi. C'est pour ça qu'elles ont été si lourdes à porter et que tu es venu t'excuser auprès de moi"..
Voilà ! C'est ça..
Ne pas en faire une affaire personnelle, c'est ne pas prendre la réaction des autres comme nous appartenant.
C'est leur réaction à eux, leur pensée à cet instant. Leur colère, leur tristesse, leur frustration.
Vous n'êtes responsables que de vos paroles et de vos actes. Pas de la façon dont les autres les comprennent. Bien sûr, il est important de dire les choses de façon non blessante... ce qui nous ramène au premier des accords... mais après... ? Vous ne pouvez pas ressentir à la place de l'autre, ni décider de comment l'autre doit ressentir ! C'est son chemin à lui.
Bien sûr, on peut être tenté de réagir,... alors comment faire ? On peut juste se taire et attendre. Ou alors mettre des mots : "Tu es en colère (ou frustré, ou triste, ou vexé, ou...). Je le vois. Je l'entends. C'est ton droit de l'être." C'est un exemple. Celui-ci fonctionne bien avec les enfants. Chacun pourra trouver sa façon de désamorcer sans s'engager. Se mettre dans la bienveillance et dans l'amour aidera à rester "observateur".
De la même façon, ne pas en faire une affaire personnelle, c'est aussi laisser chacun vivre son histoire et sa vie... sans vouloir décider pour lui. Peut-être que notre propre expérience nous a permis de savoir qu'elle est la meilleure façon de solutionner un problème, mais... aujourd'hui, qui doit en faire l'expérience ? Ce n'est pas vous, c'est l'autre.
Vous pouvez conseiller, écouter, rassurer... mais si l'autre choisi de faire autrement... il n'y a rien à reprocher, ou à regretter : c'est son chemin, son droit le premier : faire son expérience.
Encore une fois, ayez votre conscience pour vous : si vous êtes attentifs à la façon dont vous traitez les personnes qui vous entourent et les difficultés.. si vous le faites avec bienveillance, alors ne vous formalisez pas de leur réaction. Chacun est libre de réagir selon son propre vécu, et sa propre histoire. Votre écoute et votre calme seront alors le meilleur exemple pour montrer qu'on peut suivre ce chemin en toute confiance.
Prenez-bien soin de vous... c'est ainsi que vous pourrez prendre soin des autres ! En étant vous-même l'exemple de ce qui apaise..
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3. Ne faites pas de suppositions.
Ah... les suppositions !! Comme elles viennent facilement dans nos esprits ! Et elles nous font généralement bien du mal...
Pourquoi ? parce qu'elles sont directement issues de notre mental, de notre égo.. celui qui se protège, qui attise les peurs, les doutes, les craintes ! Celui qui préfère rester dans une situation inconfortable et douloureuse qu'il connait, plutôt que de tenter d'aller vers une nouvelle situation inconnue, qui serait confortable et apaisée.
Des suppositions, on peut en faire des milliers... On peut même en faire des positives parfois ! Et on se focalise sur celle qui nous parle le plus.. celle qu'on redoute ou celle qu'on attend... Et inévitablement, on se sent mal.. soit par anticipation, soit par déception...
Je me souviens d'un élève qui appréhendait la décision d'un juge aux affaires familiales. Pour sa soeur, qui reviendrait, ou pas, vivre avec lui. Pendant toute la semaine précédente, il s'en rendait malade, non pas à cause du stress, mais bien à cause des suppositions ! Chaque jour, il venait me voir en me parlant d'un autre verdict possible, pour lequel il avait échafaudé toutes les conséquences.... J'essayais de lui faire comprendre que non, il ne savait pas, et qu'il ne pourrait pas savoir avant le jour J. Et que d'ici là, il valait mieux qu'il profite de chaque journée, simplement, avec ses amis... car il serait toujours temps après de se réjouir ou de pleurer... Je lui disais que soit ce serait positif, et alors il regretterait de s'être à ce point rendu malade pendant une semaine.... Soit ce serait négatif, et alors autant profiter d'une semaine de répit avant d'être réellement dans la tristesse ! Bien sûr... C'était difficile pour lui de faire ainsi... J'ai cherché longtemps comment l'aider, et... à cette époque là, je n'avais pas d'autre réponse que celle que je lui avais donné... !
Depuis... j'ai testé, pour moi-même et avec d'autres, quelques méthodes...
Déjà, de réaliser que ces suppositions sont toutes gouvernées par la peur, ça aide... En effet, on peut mettre la lumière sur une peur enfouie, et du coup, ça nous permet de commencer à la transcender en créant une nouvelle façon de vivre les évènements. Se dire par exemple : "si j'imagine ça, c'est parce que ça réveille en moi ma peur de ne pas être aimé"... alors on se focalise sur le pourquoi de cette peur, et on pourra alors l'éclairer, l'accepter... et la laisser partir !
On peut aussi s'amuser à échafauder toutes sortes de suppositions.. toutes plus abracadabrantesques les unes que les autres ! Cela nous permet de prendre du plaisir dans ces devinettes de l'impossible, et fait travailler notre imagination ! De cette façon, notre mental ne se focalise plus sur "la raison éventuelle", mais sur "l'imagination délirante d'une raison"
On peut aussi simplement se dire : "de toutes façons, je n'en sais rien, donc je verrai bien." Porter son attention sur le moment présent : ici et maintenant qui est le cadeau du présent ;) Mettre de l'amour dans notre quotidien...
Enfin, on peut apprendre à relativiser, en s'observant soi-même. Nous ne sommes pas toujours identiques dans notre attitude avec nous-même et avec les autres. Certains jours, on est levé du mauvais pied, on a du mal à s'organiser, on est fatigué, on est malade, on n'a pas envie, etc, etc... Cela va influencer notre façon de nous comporter avec les autres... sans que ce soit lié à eux personnellement ! Donc, de la même façon qu'on a le droit d'être moins en forme certains jours que d'autres... les personnes qui nous entourent ont exactement le même droit ! Pas de supposition à faire, juste de la bienveillance et de la confiance. Autoriser à l'autre ce que l'on vit nous-même régulièrement...
Et comme tous ces Accords Toltèques sont liés les uns aux autres... il est évident que si vous avez été attentif à votre parole, si vous avez été bienveillant, alors il n'y a pas de raison que les choses se passent mal... N'en faites pas une affaire personnelle, n'échafaudez pas de supposition qui vous abaisse ou qui vous culpabilise : tout le monde a droit à l'erreur, à droit à être moins réceptif ou moins efficace, ... ce qui nous amène au 4ème Accord que je développerai rapidement ! :)
D'ici là, je vous envoie plein d'Amour Chaleureux..
Prenez bien soin de vous,
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4. Fait chaque jour de ton mieux. C'est très important... pour notre satisfaction personnelle. Pour ne pas tomber dans la culpabilité ou le remords. Mais il faut savoir que "faire de son mieux",
ce n'est pas forcément être au top tout le temps !
Parfois, notre mieux est très bas... Parfois, on se lève du mauvais pied, on est fatigué, malade, on a a appris une nouvelle pas vraiment réjouissante... et notre mieux ne sera pas très haut ! Ce n'est pas grave... ce qu'il faut, c'est faire de son mieux ce jour-là...
Comment faire la différence entre "faire de son mieux", et.. "être paresseux" ?
Imaginons... Vous avez du ménage à faire... et vous êtes actuellement affalé sur votre canapé. Posez-vous la question : "est-ce que j'ai envie de faire le ménage ? Est-ce que je me sens capable de faire le ménage maintenant ?" Avoir envie et être capable sont deux choses différentes. Parfois, on peut en avoir envie, mais ne pas s'en sentir capable en ce moment : donc notre mieux n'est pas très haut...
Parfois, on s'en sent capable, mais on n'a vraiment pas envie... alors c'est plutôt un accès de paresse... et on risque de culpabiliser plus tard parce qu'on n'aura pas fait son ménage !
Il me semble important aussi de savoir que
notre "mieux" évolue au cours de la journée. Je l'avais déjà écrit il y a quelques temps ici
(et si on réapprenait à s'écouter), je sais que lorsque j'ai faim, je deviens impatiente, moins à l'écoute, et oui, peut-être un peu insupportable... ;) Et bien, lorsque j'ai faim, mon mieux est très bas ! Donc désormais, lorsque je suis au travail et qu'un ado veut me voir alors que je sens que je commence à avoir faim... je préfère lui dire de revenir dans 30 minutes lorsque j'aurai mangé, car je serai plus à l'écoute à ce moment-là ! Et systématiquement, ça se passe bien !
L'avantage, lorsque l'on fait de son mieux et qu'on accepte d'avoir un mieux plus bas de temps en temps,
c'est qu'on ne culpabilise plus pour des choses ou des situations qu'on a géré moins bien : on sait que la prochaine fois, on pourra sans doute faire autrement, car notre mieux sera différent.
Enfin, faire de son mieux,
cela veut dire aussi accepter que le mieux des autres ne soit pas toujours au top lui non plus !! Du coup, cela nous permet de relativiser, et de ne plus juger sévèrement les autres ou leur réaction...
Lorsqu'on fait de son mieux et qu'on accepte le mieux des autres, il est plus facile d'appliquer les autres Accords Toltèques qui sont : pas de supposition, et ne pas en faire une affaire personnelle ...
Donc mes amis, quoi que vous fassiez, faite-le en conscience, avec le maximum d'Amour et d'Attention à l'intérieur...
Et prenez bien soin de vous :D
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5. Garde ton esprit critique.
C'est très important ! Garder son esprit critique, cela veut dire laisser résonner en soi tout ce qu'on peut lire ou entendre... prendre et jeter. Il n'y a pas de gourous, pas de maîtres supérieurs !
Dans Conversation avec Dieu (Neale Donald Walsh), il est écrit ceci : "les plus grand maîtres ne sont pas ceux qui ont le plus de disciples, mais ceux qui forment le plus de maîtres"
Alors oui, c'est ça : les gourous, ça n'est pas positif pour votre âme !
Dites-vous bien une chose : chacun apprend et relate ce qu'il a appris, son "savoir", en fonction de ses propres expériences.. En fonction de son propre chemin de vie ! Et même si, pour une personne, ce savoir est très utile et très positif, il ne le sera peut-être pas pour vous, qui n'avez pas suivi le même chemin, ni vécu les mêmes expériences !
Tout ce qui est lu, entendu, doit être pris avec un esprit critique... avec un coeur ouvert qui attend de ressentir..
Je vous l'ai écrit tout au début de cet article : lorsque j'ai lu pour la première fois "les Accords Toltèques" de Don Miguel Ruiz, ils ont résonné et raisonné en moi : c'est donc qu'ils correspondaient à mon/mes ressentis, et mon/mes croyances ou valeurs personnelles.
Tant mieux pour moi !! Il aurait pu en être autrement...
La seule chose que j'espère, c'est que lorsque vous lisez mes textes, lorsque je vous partage ma compréhension et mon ressenti des choses de la vie, vous laissez juste résonner en vous... et vous jetez si ça n'est pas le cas !
Passer d'une dépendance à l'autre n'apporte jamais rien de bon ! Combler un manque d'un côté, et en créer un autre de l'autre... ne sert à rien !
Le but ultime de tout ça, c'est de vous permettre, à vous, à moi, à toute personne intéressée par l'éveil... de devenir parfaitement autonome et en accord avec soi-même... C'est de ressentir, tout au fond de soi, qui est cette personne que l'on est... et lui donner l'amour et la nourriture (physique et psychique) dont elle a besoin !
Il y a des outils, des clés possibles.... toutes sortes de clés pour toutes sortes de situation différentes...
A vous de prendre celle qui correspondra le mieux à votre histoire, à votre personnalité, à qui vous êtes vraiment !
Nous sommes nombreux, et de plus en plus nombreux à diffuser des clés sur le net, et c'est une bonne chose : mais encore une fois, ne prenez que celles qui ouvrent vos portes.... et n'en prenez pas qui puisse en fermer d'autres !
Merci d'avoir partagé avec moi cette aventure Accords Toltèques... Je laisse ici une photo que j'ai créée pour illustrer tout ça, sorte de mémento...
N'hésitez pas à le diffuser si vous pensez qu'il pourra servir !
Prenez bien soin de vous, et de votre âme... et à très bientôt :D
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Notre rapport avec l'argent... Vous êtes vous déjà demandé quel rapport vous entreteniez avec l'argent ?
Je me suis personnellement déjà posé la question... et il se trouve que pendant longtemps je répondais ainsi : "rapport très particulier, je n'en manque pas vraiment, mais je ne peux pas dire que j'en ai. Toujours sur le fil, je dois réfléchir à chaque achat.. et je culpabilise facilement après un achat coup de coeur. Sauf pour les cadeaux. Je trouve toujours de l'argent pour faire un cadeau."
Au final, si je décortique cette réponse, qu'y a t'il ? Une sorte de justification, pour dire que "j'en ai mais pas trop"... comme si en avoir trop pouvait être négatif, malsain. "J'ai la possibilité d'en avoir un peu plus si je le distribue au travers d'un cadeau... mais pas pour moi, ou alors je m'auto flagelle quand j'ose m'offrir quelque chose"...
Cette éducation judéo-chrétienne qui fait du pauvre un modèle et du riche un perverti nous fait aujourd'hui bien du mal.. Cet argent, on le désire, mais on s'en méfie. On le regarde, mais avec un mélange d'envie et de dédain....
C'est idiot ...
Ces pensées sont tout simplement erronées. Déprogrammation !! ;)
Aujourd'hui, ma situation financière n'a pas changé, mais pourtant, je le dis haut et fort : l'argent n'est pas malsain !
L'argent n'est pas détestable !!
L'argent est ni plus ni moins qu'un outil.. comme le langage est un outil. Nous, être humains, avons aujourd'hui besoin du langage pour nous exprimer. Viendra peut-être un temps où nous pourrons nous en passer. Mais pas maintenant, c'est trop tôt. Nous ne sommes pas assez évolués pour ça.
Pourtant, ce langage a beaucoup de pouvoir. Des mots peuvent blesser quelqu'un, comme ils peuvent guérir. Les mots peuvent être utilisés avec amour, et s'échanger pour faire le bien... ou pas.
Et bien l'argent, ce n'est ni plus ni moins que la même chose ! Nous en avons besoin, aujourd'hui, en tant qu'êtres humains. Parce que nous avons besoin de l'argent pour nous maintenir dans un état de confort suffisant pour libérer notre esprit du souci matériel. Difficile de s'élever spirituellement quand on a faim ou froid. Quand on a des factures à payer en pagaille... L'aisance financière n'est pas honteuse, elle est bonne. Elle est saine. Elle permet de faire le bien, et de donner de l'amour à soi-même, et aux autres.
Alors n'ayons pas peur de l'argent. Osons le regarder sans envie, et sans honte. Osons le posséder sans le cacher et en le laissant librement circuler. Quand la parole circule, cela forme des dialogues..Et la parole nous revient. Pour l'argent, c'est pareil. Laissons-le circuler. Il sortira, il entrera. Peu importe.
Il peut couler à flots, nous saurons, nous pouvons l'utiliser pour le bien de tous, intelligemment et judicieusement.
Aujourd'hui, nous pouvons tous parler à notre conscience de cette façon :
"oui, j'ai le droit d'avoir de l'argent. J'ai le droit d'être heureux et prospère. Je peux avoir de l'argent avec abondance, et le faire circuler indéfiniment et librement. J'ai de quoi distribuer le bien autour de moi, comme je distribue des paroles réconfortantes et positives. L'argent est un outil, que je suis désormais capable d'utiliser généreusement, sans avarice et sans peur d'en manquer. Et je remercie pour cette prise de conscience." Belle journée et bon we à vous :D
Isabelle dit :
23/3/2015
Merci à vous Céline, le 20 mars est tout récent, et le travail est certainement encore en train de se faire... mais je suis ravie si j'ai pu vous aider à retrouver un peu de confiance !
Prenez-bien soin de vous :D
Céline dit :
23/3/2015
Un Grand MERCI pour votre article sur l'escalier.
Séparée depuis vendredi 20 mars, j'avais besoin de lire vos lignes pour retrouver confiance.
Merci
Excellente continuation
