Aime et Réalise...
Changer de regard,et accéder à la Lumière...

 
 
 

18/03/2018
Face à la mort

Woody Allen a dit "La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible". C'est très vrai. Dit comme ça, bien sûr, ça fait sourire ! Et pourtant.... 
Il n'y a pas de vie sans mort. Il n'y a pas de mort sans vie 
C'est ainsi que notre passage terrestre fonctionne.
Or, si nous sommes nombreux à aimer la vie, bien peu peuvent dire qu'ils aiment la mort. 

Pourtant, elle est partout autour de nous. Dans nos familles, nos cercles d'amis, mais aussi dans la vie publique, les guerres, les attentats, les accidents. 
Nous ne pouvons l'ignorer. Elle n'arrive pas qu'aux autres. 
Mais elle a cette particularité de se faire oublier dès lors qu'on n'est pas confronté à elle. Alors quand elle arrive... elle effraie, elle attriste, elle énerve, elle réveille des émotions bien souvent désagréables ! 

Comment l'appréhender cette mort ? Puisqu'elle est inévitable, que pouvons-nous comprendre d'elle ?

La mort est-elle prédéfinie dès notre incarnation ? Probablement que oui.
La mort autre que "naturelle" est-elle prématurée ? Pas sûr. 
Je fais partie de ceux qui pensent qu'une mort par accident, par suicide, par maladie, est peut-être, elle aussi, prédéfinie dès notre incarnation ! 


Je sais que mes propos peuvent choquer. Laissez-moi vous les expliquer.
Comme vous, j'ai été confronté à la mort bien souvent dans ma vie privée... Et peut-être un peu plus que certains d'entre vous dans le cadre de ma vie professionnelle. 
Comme vous, j'ai pleuré, j'ai regretté, j'ai oublié, je n'ai pas compris, j'ai souffert de la mort qui arrivait à l'autre. Soit parce que je savais qu'il allait me manquer. Soit parce que la mort semblait volée, violente, injuste, etc.... 

Et pourtant, à travers les morts que j'ai cotoyé dans le cadre de mon travail, dans ces circonstances où le "professionnalisme" oblige à garder un certain recul, à ne pas se laisser emporter par ses propres émotions, mais à se recentrer, pour garder les idées claires et être cet espace d'écoute nécessaire aux autres. 
Ces morts cotoyées m'ont appris une chose : c'est qu'elles ne sont jamais en vain. 

Que ce soit cette mamie partie de sa vieillesse fragile et douloureuse, qui a attendu pour mourir que le dernier de ses enfants revienne au bercail, pardonne, se rapproche à nouveau de sa fratrie...
Que ce soit cet autre parent, qui a attendu que sa famille soit prête à accepter la mort, quitte à supporter encore pendant des semaines la douleur et la déchéance. 
Que ce soit cet enfant mort à quelques semaines, et qui aura changé à jamais ses parents. 
Que ce soit ce grand frère, aimé par tous,et tué violemment à 14 ans pour une banale histoire de vol. Tous ces camarades de collège voient la vie autrement désormais.
Que ce soit cette jeune femme, qui rassure tout ceux qu'elle aime sur la richesse de son parcours, et leur apprend que l'essentiel n'est pas dans ce qu'on possède, mais dans ce qu'on donne.  
Que ce soit ce jeune père mort brutalement sans raison apparente, et qui nous fait comprendre que la vie est un cadeau et qu'il faut la chérir chaque matin. 

La mort n'est jamais en vain.

Je me souviens de toutes les personnes que j'ai cotoyé, et dont je me suis occupée jusqu'à l'instant T, et même après. 
Je me souviens de toutes les émotions que j'ai ressenti, toutes les phrases que j'ai pu dire, aux personnes ou à leurs familles. 
Je me souviens des regards, des intentions.
Je me souviens des familles. Et c'était là le plus difficile. Lorsque je pouvais communiquer avec les familles, j'insistais toujours sur une chose : "La plus belle preuve d'amour que vous pouvez donner à votre proche, c'est d'accepter de le laisser partir."

Toutes ces rencontres ont fait de moi celle que je suis aujourd'hui. 
Et c'est pareil pour chacun de nous. 
A chaque mort que nous cotoyons, nous changeons un peu. Nous avons toujours quelque chose à apprendre. 

Puisque nous choisissons avant notre incarnation qu'elle sera notre mission, notre expérience de vie... il n'est pas incohérent de penser que nous choisissons aussi notre façon de mourir, et à quel âge. 
On peut avoir fait le choix de vivre la maladie, et la souffrance.
On peut avoir fait le choix de vivre très longtemps, et de voir partir tous ceux qu'on a aimé. 
On peut avoir fait le choix de vivre très peu de temps, mais d'apporter à ceux qui nous ont connu tellement d'amour pur, que notre mort sera pour eux une vraie évolution de conscience. 
On peut aussi naître physiquement, mais sans incarnation. Alors notre corps meure. Avant d'avoir vécu. 
On peut avoir fait le choix de mourir en martyr, en victime, en collectif, afin d'éveiller les consciences.... 

Est-ce être fataliste que de croire celà ? Certainement non ! 
Le but de tout ça, est d'apprendre. Tomber dans le fatalisme n'apprend rien du tout. 
Nous sommes là pour vivre notre divinité dans notre incarnation. Comment choisissons-nous de la vivre au quotidien ? Dans la maladie, dans la souffrance, dans la pauvreté, dans l'humiliation, dans la guerre, dans l'abondance de biens, dans la fête, dans la famille, dans l'amitié, etc... 
Ce que nous vivons chaque jour procède à ce qu'apportera notre mort. Nul ne sait quand elle arrivera. Mais ce que nous sommes aujourd'hui définira aussi ce que nous transmettrons en mourant.

Il est dit que les âmes des personnes suicidées ne montent pas. Et pourtant....
Je me souviens de ce couple de personnes âgées rencontrées en décembre il y a quelques années. Je passais devant chez eux chaque jour sans y penser. 
Et puis, ce matin là, j'ai tourné la tête. J'ai eu une pensée douce pour eux. Et ce matin là, ils se suicidaient. En couple. Alors j'ai fait monter leurs âmes. Il n'y a pas de hasard. J'étais là pour ça. C'était prédéfini. C'était juste. 
Il est des tentatives de suicides très violentes qui n'aboutissent pas. Il est des accidents très violents qui n'ôtent pas la vie. 
Il est des tentatives de suicides qui réussissent, malgré la réactivité des sauveteurs. Il est des accidents très légers qui sont fatals. 

La mort n'est pas en vain. Jamais. 
Elle nous permet d'avancer. Elle fait partie du contrat passé en amont. 
Alors je sais que c'est difficile à entendre. Je sais que la mort des autres  est douloureuse. On a peur de notre douleur à nous. On sait qu'on va pleurer, que l'autre va nous manquer. 
On s'imagine que l'autre est mal après sa mort. Mais la vérité c'est qu'on en sait rien. 

On a peur de ce qui pourrait arriver après, parce que notre égo n'aime pas le changement. Mais notre âme sait. 
Ecoutons notre coeur, notre âme. 
La mort de l'autre est triste pour nous, plus qu'elle ne l'est pour l'autre. 
Et notre mort à nous ne devrait pas nous faire peur. Elle arrivera en son temps, ne le provoquons pas. Vivons notre vie intensément, dans l'instant présent. 
Faisons de chaque instant un cadeau. Soyons pleinement présents et vivants au quotidien. Et lorsque la mort arrivera, sourions lui ! 







 

CROIRE !
(09/01/2017)


Voici venu le temps de savoir vraiment, à quoi l'on croit.
Il n'est plus possible, aujourd'hui, de faire semblant.
Méditer sans conviction, juste parce qu'on nous a dit que ça nous ferait du bien.
Parler de bienveillance et ne pas l'appliquer au quotidien.
Appeler l'abondance et ne pas y croire.
Espérer l'Amour et ne pas s'aimer soi-même

2017 va être l'année de l'incarnation suprême.
N'oublions pas : nous sommes venus ici pour vivre notre incarnation. Pas pour faire semblant de la vivre.
Osons être nous complétement ! Sans fard, et sans mensonges !
Osons croire réellement ce que nous disons, pensons, faisons !

Aujourd'hui, il est important d'être complétement en accord entre nos pensées, nos peurs, nos envies, nos paroles et nos actes.
Jusqu'alors, nous étions divisés : entre notre raison, qui a bien compris l'importance de la méditation, de la pensée positive, de la zen attitude.... et notre coeur, qui, tout au fond, n'y croyais pas forcément !
Aujourd'hui, nous avons la possibilité d'aller au coeur de nos croyances : aller toucher la croyance première : celle qui décidera de l'issue de tout cela !
Méditer parce que notre raison nous le conseille, alors que notre croyance première est que "ça ne marche pas".. ? Alors, ces méditations resterons superficielles.
Penser positif parce que "cela doit marcher, tout le monde le dit, autant essayer"... alors que notre croyance première est que "pffff, n'importe quoi !" Il n'y aura qu'un tout petit bénéfice à ces pensées.
Appeler l'abondance parce que "de toutes façons, ça coûte rien, et au point où j'en suis.." ... alors que notre croyance profonde est que "de toutes façons, je ne mérite pas d'être heureux et d'être riche". Cette abondance n'arrivera pas. A peine des bribes. Des allers-retours.

Aujourd'hui, nous pouvons nous confronter à nos croyances première : les mettre à jour. Les identifier !
Car ce sont ces croyances-là qui sont décisives.
Osons les regarder en face. Osons cette introspection, pour le meilleur de nous-même ! Nous sommes prêts pour cela : 2016 a fait le nettoyage qu'il fallait pour évacuer nos blocages. Maintenant, nous pouvons être honnêtes avec nous-même, pour mieux travailler correctement sur nous-même.
Savoir réellement quelle est notre croyance profonde, la comprendre, l'accepter sans la juger, permettra de la modifier. Ajuster les choses. Décider, en conscience, de modifier son paysage imaginaire. Décider, en conscience, de changer notre vision de la vie. De notre vie.

Il est temps, maintenant, d'être VRAI.
Je l'avais déjà écrit il y a quelques mois : ON VOIT CE A QUOI L'ON CROIT.
Aujourd'hui, ça n'a jamais été aussi vrai ! Et cela le sera de plus en plus !

Alors mes amis, soyez confiants : ce que vous êtes aujourd'hui, vous le serez.
Croyez que vous pouvez changer, et vous changerez.
Croyez profondément que c'est possible, et vous verrez : ça le sera !


Il suffit d'y croire. Et pour cela, il faut libérer la place : laisser partir l'ancienne croyance. La remercier d'avoir passé tout ce temps là avec nous, comprendre pourquoi elle était là, et ce qu'elle nous a permis d'apprendre.. Et la laisser partir.
Simplement.

Voilà ce que je ressens depuis ce début d'année... Et pour en avoir parlé avec ma très chère amie Fabienne, je sais que je ne suis pas la seule à ressentir cette énergie là.
Ce qui est bien, c'est que nous avons, maintenant, la capacité de changer cela.
2016 nous a ouvert la porte.
2017, année 1, année de renouveau, va nous permettre de modifier nos croyances limitantes, et d'avancer vers la Lumière !

Mes belle âmes : il y a de quoi se réjouir :)
Tiens, comme dans Peter Pan : "je veux que les fées existent, j'y crois, j'y crois ! "

Belle journée à vous
<3
 
Ce n'est pas nouveau : chacun sait qu'il vaut mieux privilégier la qualité à la quantité... !
Et pourtant, au quotidien, est-ce vraiment ce que nous faisons ? Pas si sûr....

Nous vivons dans une société qui dénigre totalement la qualité, au profit de la quantité. Cela se voit dans la nourriture notamment, où le rendement est plus important que la qualité intrinsèque des aliments !
Mais cela se voit aussi dans toute entreprise... et encore plus lorsqu'elle est cotée en bourse !
Même au niveau politique on le constate : c'est à croire que chacun veut prouver qu'il est capable de faire plein de choses, plein de changements.... même s'ils sont complétements nuls ou inutiles !
Enfin, cela se voit aussi dans nos vies privées, dans nos maisons... Il y a multiplication des voitures, des appareils électroniques, des téléphones.. toute chose est reléguée davantage à sa notion de quantité qu'à sa notion de qualité.
J'en entends déjà certains qui vont rétorquer qu'on peut avoir les deux : qu'ils font bien attention à n'acheter que des produits de qualité, même s'ils en ont plusieurs à la maison. ( 3 téléphones i-tech par exemple ;) ) Mais c'est bien là qu'est le problème : sommes-nous réellement au clair avec ce que doit être la qualité ?
Prenons l'exemple du téléphone : Sa qualité dépent-elle de sa fonction première (pouvoir téléphoner partout, facilement, sur la durée, sans pannes) ou du nombre de fonctionnalités du téléphone ?

Nous avons tendance, trop souvent, à nous égarer. Oh, rassurez-vous, tout est fait pour nous aider à nous égarer ! Les entreprises sont dans le rendement : ce qu'elles veulent, c'est vendre... Donc, elles vont nous faire croire que la qualité évolue, que la qualité est dans la quantité, afin de pouvoir renouveller en permanence leur produit et le faire acheter. Et nous tombons bien souvent dedans, la tête la première !

Pourtant, lorsqu'on commence à ouvrir les yeux, à regarder le phénomène de façon consciente.... on se rend vite compte de son absurdité ! Et de son côté perfide et traître...
Un autre exemple : la télévision. Dans nos maisons, bien souvent, nous mettons des écrans géants, HD, peut-être même 3D... avec un recul souvent bien trop petit car la maison n'est pas si grande. Résultat, certes, à priori, la télé est de super qualité ! Sauf que.... cette grande télé qui prend de la place... va très bien jouer son rôle : prendre de la place dans votre vie. Elle va prendre même toute la place.... Pas besoin d'aller au ciné en famille, puisque l'écran est grand et de belle qualité... Pas besoin de se parler, puisque la télé parle...  Pas besoin d'être attentif, puisque la télé attire notre attention vers elle....

Allez, ne nous accablons pas !! Nous pouvons bien sûr changer tout ça... après tout, ce ne sont que des appareils électroniques.. il ne tient qu'à nous de les éteindre ! Mais le but de tout ça, c'est surtout de réaliser que, l'air de rien, on nous vend de la quantité en nous faisant croire qu'on a acheté de la qualité... Gardons les yeux ouverts !!

Parce que la vraie qualité, celle qui se cultive avec le coeur... et qui se reconnait aussi avec le coeur.... elle ne fait pas de publicité ! Pourtant, elle n'est pas rare pour autant, loin de là ! C'est juste qu'elle ne sait pas se faire vendre, elle ne sait pas se mettre en avant, puisqu'elle est.. tout simplement,... vraie.
Un autre exemple : j'ai chez moi un pommier. Tout petit. Lorsque je suis arrivée, il faisait plein de pommes, ridiculeusement petites, qui ne murissaient pas, et étaient toutes véreuses. La quantité était là... mais pas la qualité.
Avec amour, et observation, j'ai commencer à tailler mon pommier... et l'année suivante, j'ai eu 3 pommes : belles, sucrées, bien grosses, juteuses... Un délice ! Ces 3 pommes là étaient d'une qualité exceptionnelle ! J'ai continué bien sûr à apporter de l'amour et de l'observation à mon pommier... et cet automne, j'ai eu plein de grosses pommes, toutes sucrées, toutes belles et bien grosses. De la qualité est née, naturellement, la générosité. Et j'ajoute même que de cette générosité là, est né encore autre chose : la Joie d'avoir ces pommes, de les partager, de découvrir l'intérêt gustatif d'une belle pomme 100% bio, ... et de voir mes enfants prendre désormais beaucoup de plaisir à les manger ! :)

Imaginons maintenant un propriétaire de verger, qui... après avoir fait le même travail d'amour sur ses pommiers, récolte finalement généreusement de très belles pommes. Il va peut-être décider d'en donner quelques unes... voire d'en vendre un peu, modestement. Mais si une personne de son entourage, plus avide, lui dit qu'il pourrait gagner beaucoup plus d'argent de cette façon... il risque de porter son attention non pas sur la qualité de ses pommes, mais sur leur quantité... et à terme, avoir des pommes de moins bonne qualité.

Eh oui ! Une fois de plus, tout est question d'Attention. Où portons-nous notre attention ?

La jeunesse pense souvent qu'il faut avoir plein d'amis... et ils se perdent dans des relations de mauvaise qualité. C'est une expérience qu'ils doivent vivre.
Mais les adultes, où en sommes-nous avec tout ça ? A travers notre travail, nos activités, nous sommes amenés à connaitre plein de gens différents, à entretenir avec eux des relations cordiales voire amicales.... par intérêt d'entreprise, de travail.... mais notre coeur, il en dit quoi ? Certains ne savent plus vraiment parfois, où sont leurs amis, et où sont leurs connaissances. Certains (et ça se voit beaucoup sur les réseaux sociaux) ont des quantités astronomiques d'amis ! Sont-ce vraiment des amis ? Permettez-moi d'en douter ! Pourtant, à ces "amis" là, nous partageons des moments privés de notre vie, de nos week-end, de nos pensées....  Quelle qualité donnons-nous à nos relations humaines alors ?  Nos vrais amis ont-ils encore une relation privilégiée avec nous ?

C'est juste une question, et je vous laisse trouver votre propre réponse.

Par contre, revenons à mon petit pommier : avec de l'amour et de l'observation, donc avec de l'attention, il a produit des pommes de façon généreuse. Et c'est ça, je crois, la phrase à retenir de mon message :
La qualité apporte la générosité.
Et la générosité, ça se propage, et ça se développe. Plus on en donne, plus on en reçoit ! C'est un cercle vertueux que celui là....

Alors... où en êtes-vous ?

De mon côté, j'essaie d'apporter l'attention et l'amour nécessaire à chacun de mes messages, afin qu'ils vous apportent généreusement. :)
Merci pour le retour que vous me faites très régulièrement. <3

Namasté.


Message de Noël 2015

Mes belles âmes...

Je partage avec vous cette image pour ce Noël...

Parce qu'au delà de la symbolique religieuse qu'elle dégage, cette image reflète aussi le lâcher-prise, l'abandon de ce qui nous retient, nous blesse... Cette image est un don de soi, c'est la libération de tout ce qui est resté enfoui, tout au fond, pendant si longtemps...
Et cette image, c'est aussi la confiance, le pardon, le respect, l'acceptation, le partage, l'accueil, l'AMOUR SANS CONDITION.

Cette image reflète pour moi ce que devrait être noël, ce que représente aussi le solstice d'hiver : un retour vers son SOI profond. Une libération et une renaissance.

Alors mes chers ami(e)s, je vous souhaite un très joyeux noël... que vous puissiez trouver cette libération intérieure, cette renaissance à vous-même !
Que vous puissiez accepter ce qui est, et avancer dans la confiance, le pardon, le respect, l'AMOUR.


 




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